Les papyrus de Champollion livrent une partie de leur mystère
Les résultats ont permis de découvrir comment ces œuvres étaient réalisées. Des données importantes tant pour comprendre leur histoire que pour leur conservation.
Il s’agit d’un travail relatif à la thèse de Pierre-Olivier Autran, dirigée par Pauline Martinetto (Institut Néel-CNRS, enseignante-chercheure, UGA) et Catherine Dejoie (ID22, ESRF), en collaboration avec le musée départemental Champollion, à Vif, et sa conservatrice Caroline Dugand.